Dans la deuxième partie de notre feuilleton « Sauvons Vizir », découvrez l’importance qu’avaient les chevaux pour Napoléon.
Napoléon n’a pas eu un seul cheval de bataille ; il n’a pas eu son « Bucéphale » comme Alexandre Le Grand. Au contraire, il dispose de plus d’une centaine de chevaux dits « du rang de Sa Majesté » qui regroupent tous les chevaux affectés au service de l’Empereur pour qu’il les monte ou pour qu’ils l’accompagnent dans ses déplacements.
Le plus gros des effectifs est tenu en réserve dans ses écuries, à Versailles, aux Tuileries, à Saint-Cloud, à Fontainebleau et dans toutes les résidences impériales où Napoléon peut venir ou repartir à tout moment. Tous sont issus d’une sélection rigoureuse. Sur cette centaine de montures, seules quelques-unes atteignent la célébrité, soit parce qu’elles sont appréciées par l’Empereur, soit par ce qu’il les monte pendant une bataille célèbre, comme pour « Vizir » à Iéna et à Eylau.
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