Napoléon affectionne particulièrement les chevaux entiers, non castrés, tels que « Vizir », bien qu’il possède de nombreux hongres et juments parmi ses montures de selles.
Le capitaine Coignet nous livre dans ses Cahiers une anecdote à ce propos. L’action se situe le 16 juin 1815 à Fleurus : « Au travers de la plaine, se trouve un fossé de trois ou quatre pas de large ; le cheval de l’Empereur fit un petit temps d’arrêt, mon cheval franchit, et je me trouvais devant Sa Majesté, emporté par sa rapidité. Je craignais d’être grondé de ma témérité, mais pas du tout. Arrivé sur le mamelon, l’Empereur me regarde et me dit : « Si ton cheval était entier, je le prendrais ! ».
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