En plus de monter de façon peu orthodoxe, l’Empereur était un cavalier hardi.
Seul le baron Fain, secrétaire personnel de Napoléon, semble lui reconnaître quelques qualités équestres : « l’Empereur montait à cheval très hardiment et en casse-cou ; il laissait son dos se voûter sur la selle, tenant négligemment les rênes de la main droite, tandis que le bras gauche allait pendant, et toute l’habitude du corps se balançant à l’allure du cheval. Il s’abandonnait ainsi sans réserve à l’adresse de sa monture… Tantôt l’Empereur laissait aller son cheval au pas ou au trot, se contentant d’être porté dans ses réflexions, tantôt le mettant au galop, il ne craignait pas de s’engager dans des sentiers difficiles, dans des bas-fonds marécageux ou sur la pente des rochers et des ravins ».
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