Les chevaux de Napoléon subissent un vigoureux dressage qui a pour but de les préparer au champ de bataille.
Le dressage débute sous la houlette du premier piqueur de l’Empereur, Antoine Jardin. Celui-ci les soumet à un certain nombre d’épreuves, tels que des coups de feu tirés à proximité, des drapeaux ou des chapeaux agités sous leurs yeux, des cris de soldats, des roulements de tambours et des clairons de trompettes. Puis, les chevaux sont menés par le comte Harvey de Canisy, écuyer commandant de Sa Majesté, qui s’assure de leurs qualités et de leurs défauts. Ainsi Napoléon les trouvait-il, à l’issue de leur dressage « dociles, doux au galop et trottant l’amble » selon les mots du baron Fain.
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