Les dizaines de milliers de chevaux de l’armée napoléonienne devaient être nourris, nécessitant des opérations de récolte parfois périlleuses.
En campagne, chaque régiment monté envoie quotidiennement des cavaliers dans un rayon d’une dizaine de kilomètres autour du campement. Ils rentrent de corvée surchargés de fourrage fauché, destiné à l’alimentation des chevaux. Ces opérations ne sont pas sans risque car elles exposent bien souvent chevaux et cavaliers aux attaques de l’ennemi et aux représailles des populations locales.
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