Tout comme le fourrage, la ferrure des chevaux était aussi une question importante pour les cavaliers de la Grande Armée qui partaient en campagne.
Chaque régiment gère la ferrure de ses chevaux avec les douze francs qui lui sont alloués par cheval et par an, ce qui se révèle très insuffisant. À partir de 1806, Napoléon prescrit aux régiments d’anticiper des approvisionnements en fers, en clous et de se munir d’une forge de campagne capable de suivre les régiments, mais cette prescription n’est pas toujours appliquée.
Bien souvent, les cavaliers doivent s’en remettre à ce qu’ils trouvent. Les plus prévoyants emportent dans leurs fontes quelques fers et quelques clous. Chaque régiment dispose en théorie de deux maréchaux-ferrants.
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