À cette époque, la médecine vétérinaire est une nouveauté, la première école en Europe ayant été créée à Lyon en 1762.
Sous l’Empire, il existe cinq écoles vétérinaires (Alfort, Lyon, Turin, Aix-la-Chapelle, Zutphen) qui forment plusieurs dizaines d’élèves par an aux frais du ministère de la Guerre, à condition d’intégrer à l’issue de leur scolarité les rangs d’un régiment de cavalerie.
A partir de 1807, chaque régiment de cavalerie est tenu de compter deux vétérinaires dans ses rangs, mais les besoins sont tels que le recours à des aides vétérinaires, généralement dépourvus de diplômes, s’imposent le plus souvent.
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