Dans les années 1810, « Vizir » profitera de quelques années de repos, tout en restant aux côtés de l’Empereur.
Même s’il est considéré comme apte au service de l’Empereur, «Vizir» ne participe pas à la campagne de Russie (1812). À 20 ans, il est jugé trop âgé et ne fera pas non plus les campagnes d’Allemagne (1813) et de France (1814). Il n’en demeure pas moins très prisé de Napoléon qui le choisit pour l’accompagner lors de son exil dans l’île d’Elbe (mai 1814 – mars 1815). «Vizir» y est installé dans les écuries, à proximité immédiate de la résidence de son maître. De retour en France à l’occasion des Cent-jours (mars-juin 1815), «Vizir» séjourne à l’hôtel de Longueville et ne participe pas à la bataille de Waterloo (18 juin 1815).
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