Les campagnes, souvent longues et rudes, ont parfois causé de lourdes pertes pour la cavalerie.
La cavalerie napoléonienne épuise ses forces dans des campagnes qui durent de longs mois. Les chevaux parcourent des centaines de kilomètres, parfois à marches forcées, multipliant les escarmouches et les combats. Ainsi, après la double victoire d’Iéna et d’Auerstaedt (14 octobre 1806), la cavalerie traverse toute l’Allemagne, du sud au nord. Dans cette course de longue distance de plus d’un mois, les divisions de cavalerie perdent plus du tiers de leurs chevaux.
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