Malgré les dangers de la guerre, ce sont les blessures liées au harnachement qui causent le plus de dégâts au sein de la cavalerie impériale.
La médiocre qualité de certains cuirs et les mauvaises conditions d’hygiène en campagne engendrent souvent des blessures, qui parfois dégénèrent en gangrène. Les pertes au combat sont estimées au quart du total des pertes, évaluées à 300 000 entre 1805 et 1815. Le reste est dû à l’effort excessif et à la maladie (morve, gale, farcin, vertige, colique, gourme, fièvre typhoïde). Les besoins sont donc en moyenne de 30 000 chevaux par an, soit un nombre approximativement égal au nombre des naissances.
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