Bien souvent, Napoléon exige que son ennemi lui remette une partie de ses chevaux.
Au lendemain de la bataille, le vaincu doit se soumettre aux exigences de son vainqueur. Ainsi lors la capitulation d’Ulm en octobre 1805, le général autrichien Mack remet à Napoléon plusieurs centaines de chevaux qui permettent la remonte d’une division de dragons à pied. En 1806, la campagne de Prusse permet la prise de 20 000 chevaux affectés à la remonte d’une cavalerie française fortement éprouvée après plusieurs semaines de combats et de marches.
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