Napoléon dote son armée d’une cavalerie impressionnante dont les effectifs ne cessent de grandir jusqu’en 1812.
La cavalerie devient un atout majeur dans la guerre de mouvement que Napoléon affectionne. Après avoir montré leur efficacité lors de la manœuvre d’Ulm (1805), le nombre de cavaliers est multiplié par deux au cours des campagnes de 1806-1807. Hussards, chasseurs à cheval, cuirassiers et dragons s’illustrent notamment pendant la grande poursuite de l’armée prussienne au lendemain des batailles d’Iéna et d’Auerstaedt (14 octobre 1806). A Eylau (8 février 1807), les quatre-vingts escadrons commandés par Murat rétablissent une situation particulièrement périlleuse et participent de façon déterminante à la victoire.
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