Au lendemain de la désastreuse campagne de Russie, l’armée napoléonienne est confrontée à une pénurie de chevaux.
Les chevaux manquent à la fois pour tirer les attelages et pour équiper la cavalerie. L’appauvrissement croissant du cheptel équin, tant en quantité qu’en qualité, provoque une flambée des prix. Les chevaux de qualité deviennent de plus en plus rares, ce qui pénalise l’armée. Lors de la campagne de Saxe en 1813, la faiblesse de la cavalerie ne permet pas à Napoléon d’exploiter ses succès initiaux, ce qui contribue à son échec final.
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