Le cheval de l’Empereur arrive finalement, après de nombreuses péripéties et plusieurs décennies après sa mort, au musée de l’Armée.
Redécouvert en 1904, il est réclamé par le nouveau directeur du musée de l’Armée, fondé l’année suivante. Le périple du «Vizir», né ottoman, devenu français puis anglais, touche enfin à son terme. Un ultime voyage le conduit sur l’autre rive de la Seine, aux Invalides, où il est exposé à quelques pas du dôme sous lequel repose son prestigieux cavalier.
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